Code taxonomique de la Base de Données Nomenclaturale de la Flore de France, attribué à l'espèce Benoit BOCK, et accepté par le Museum National d'Histoire Naturelle comme "Référentiel Taxonomique de la flore vasculaire de la France métropolitaine". Code affecté à chaque relevé floristique dans e-FLORA-sys. La syntaxe de ce code est libre, mais il est recommandé de rappeler dans ce code l'étude ou le secteur d'étude et l'année du relevé. Code affecté à chaque station dans e-FLORA-sys. La syntaxe de ce code est libre, mais il est recommandé de rappeler dans ce code la parcelle ainsi que la partie de la parcelle concernée par la station. Indice de continentalité du sol selon Ellenberg. L'indice spécifique varie de 1 (espèce de climat atlantique) à 10 (espèce de climat continental), la valeur nulle étant attribuée aux espèces indifférentes au type de climat. L'indice stationnel (moyenne des indices spécifiques du relevé, pondérée ou non par les dominances) varie généralement entre ?? et ?. Source : Ellenberg, H., Weber, H.E., Düll, R., Wirth, V., Werner, W., Paulissen, D., 1992 - Zeigerwerte von Pflanzen in Mitteleuropa. 2ten Auffl. Scripta Geobot., 18 : 258 p Une stratégie végétale est une classification des espèces basée sur les traits qui sont fortement liés aux pressions de sélection de l’environnement. Selon Grime, il existe deux gradients environnementaux (=forces sélectives) majeurs : le stress et les perturbations. A ces gradients s’ajoute un facteur intrinsèque à la végétation : la compétition. Un stress est tout facteur de l’environnement qui limite la production de biomasse. Une perturbation est tout facteur de l’environnement (incluant les autres organismes) qui cause la destruction de la biomasse végétale déjà produite. La classification CSR place les espèces en fonction de ces 3 forces sélectives, en Compétitrices, tolérantes au Stress et Rudérales (résistantes aux perturbations). Ces trois catégories peuvent être représentées comme les 3 sommets d'un triangle, et chaque espèce comme un point au sein de ce triangle, en fonction de ses caractéristiques. Cycle de vie de l'espèce : annuelle, bisannuelle, pérenne ou vivace.Catégorie fourragère
Catégorie botanique
Valeur fourragère
Catégorie fourragère
Graminée
9 ou 10
Très bonne graminée
Graminée
7 ou 8
Bonne graminée
Graminée
5 ou 6
Assez bonne graminée
Graminée
1, 2, 3 ou 4
Graminée médiocre
Graminée
0
Très bonne légumineuse
Légumineuse
8, 9 ou 10
Bonne légumineuse
Légumineuse
7
Assez bonne légumineuse
Légumineuse
3, 4, 5 ou 6
Légumineuse médiocre
Légumineuse
1 ou 2
Légumineuse non fourragère
Légumineuse
0
Diverse fourragère
Diverse
3 ou 4
Diverse médiocre
Diverse
1 ou 2
Diverse non fourragère
Diverse
0
Code MNHN
Code relevé
Code station
Continentalité (indice de) [ ellenberg, indices-ecologiques ]
Contrastes hydriques (indice d’adaptation) [ ellenberg, indices-ecologiques ]
Coupes fréquentes (indice de résistance) [ indices-ecologiques ]
Cs%
CSR (stratégie)
Cycle de vie
Glossaire
Classement des espèces selon leurs valeur fourragère et leur catégorie botanique.
Aptitude de l'espèce à supporter un fort contraste hydrique du sol selon Ellenberg.
Le contraste hydrique correspond généralement marqué par des périodes de sécheresse estivales et des périodes de forte humidité du sol (printemps, automne et hiver)
L'indice prend deux valeurs : oui (espèce adaptée aux contrastes hydriques) ou non (espèce non adaptée aux contrastes hydriques)
Source : Ellenberg, H., Weber, H.E., Düll, R., Wirth, V., Werner, W., Paulissen, D., 1992 - Zeigerwerte von Pflanzen in Mitteleuropa. 2ten Auffl. Scripta Geobot., 18 : 258 p
Contribution spécifique selon la méthode des points sensu DAGET et POISSONET. Le Cs% peut être calculé de deux manières :
CSP : Contribution Spécifique Présence, rapport exprimé en pourcentage, entre la fréquence spécifique d'une espèce donnée et la somme des fréquences spécifiques de toutes les espèces. Elle tend vers le recouvrement relatif de l'espèce quand l'unité observée tend vers le point, et traduit la participation de l'espèce au recouvrement de la surface du sol.
CSC : Contribution Spécifique Contact, rapport exprimé en pourcentage, entre le nombre de contacts d'une espèce donnée et la somme des contacts de toutes les espèces, chaque espèce étant comptée autant de fois qu'elle touche l'aiguille. Cette contribution traduit la participation de l'espèce au biovolume aérien (et se rapproche en ce sens du B%)
Source : F.GILLET (2000). Méthodes d'étude de la végétation. 70p. Ed Université de Neufchâtel